Comme une récente conversation (épistolaire et… à bâtons rompus) avec un ami en était venue à évoquer la psychanalyse, je lui écrivais récemment qu’« occulté » me semblait un terme bien mal choisi, que rien n’était à proprement parler caché, dissimulé – sinon ce qu’autrui essaie de mettre sous le tapis, ajouterais-je ici. Au contraire, je comparais l’occulté à l’« éblouissant ; donc aveuglant »